Ce travail sans prétention est là pour rappeler que le Bas-Médoc fut par le passé et reste encore, par bien des aspects, un lieu empreint de richesses naturelles d’une qualité exceptionnelle.
Certaines de ces richesses ont contribué à assurer la prospérité de ce « pays » et de ses habitants. L’ostréiculture médocaine, sur la rive gauche de l’estuaire de la Gironde, est une de celles-là. Son souvenir est empreint de nostalgie et sa disparition soudaine, dans le dernier quart du XXe siècle, reste encore un traumatisme pour les plus anciens qui ont connu cette époque bénie. Reste cependant l’espoir de faire revivre une petite part de cette époque avec la relance de l’ostréiculture suite à l’autorisation, depuis 2014, d’affiner à nouveau les huîtres dans les bassins du Médoc…
Par Colette OROZ et Sylvain SAYO
20 euros – 78 pages